TADAIMA !.. ou comme disent les français, "Et merde". J'ai retrouvé la France telle que je la connais, en poireautant 11 minutes au RER et 10 autres minutes au métro car le prochain allait sur l'autre terminus. Le cliché total. Le ciel sans temps aussi, comme pas encore peint, très marrant. Très marrant. Bon allez on a bien ri, ok ? À moins que ça ne soit ça, le vrai visage de l'Apocalypse ?

Le problème des contre-vendettas, c'est qu'est-ce qu'on va faire après. Un jour vous explosez d'adrénaline, et le lendemain vous arrivez au seuil de l'oubli. En fait la solution, ça pourrait être de ne pas prendre l'histoire chronologiquement. En outre, est-ce qu'un créateur peut renoncer à son omniscience et tolérer que trois personnages errent ou se cachent où ils veulent ? Ne pas savoir s'ils sont de fait toujours en vie ? Et si jamais elles croisaient la route de personnages ne m'appartenant pas ? Girls, you're breaking mama's heart!

Ainsi, même la plus simple scène a pu ou ne pas pu arriver. Je ne dessine pas des faits, après tout.


D'après un micro-crobard de mi-mars que j'avais laissé de côté tout en gardant l'idée pour une autre illustration (Célia si tu passes par là tu sauras laquelle), puis finalement... Je trouvais que ça manquait dans mes illusts, qu'il n'y en avait pas assez, le torrent, la montagne, la grenouille au creux de la main, le cri de la marmotte et celui du faucon, les rochers avec des éclats de quartz sur lesquels se défoncer les ongles, et j'ai oublié les digitales mais qu'importe... pour moi c'est la quintessence d'une période révolue, manque juste quelques noms mais ils sont à moi.


"On disait que repentie, elle vaquait de par tous les continents et remettait les objets volés en leur place". Au lendemain, un bouleau marqué, le couteau indien, mais ça n'a peut-être aucun rapport.




And last but not list !

Liste des objets trouvés dans les toilettes à ce jour :

- une nintendo ds lite
- le diplôme de l'Epsaa : ouais bah nan, pas trouvé en fait.
- ma santé mentale : nan, non plus.

nowplaying : Ennio Morricone - L Arena (juste le début)